Ebola et Covid-19. L’insoutenable légèreté du paraître

L’épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola qui pourrait encore menacer le monde n’est hélas pas toute ré­cente, puisqu’elle a été identifiée pour la première fois en septembre 1976 près de la rivière congolaise éponyme, marquant les esprits de sa dangerosité en tuant brutale­ment 280 des 318 personnes infectées.

Cette exceptionnelle virulence en a immédiatement fait une sorte de parangon de la pandémie fatale à l’humani­té – type grippe espagnole, en pire –, à la fois la cible de nombreux fantasmes apocalyptiques, largement relayés par la littérature et le cinéma (tel le film « Alerte »)… et l’objet de certaines convoitises malsaines. Le germe létal zaïrois devient alors une proie de choix du bioterrorisme.

Ainsi, le gourou et quarante membres de la secte japonaise Aum Shinrikyö ont tenté – fort heureusement sans succès – de se procurer le virus sur place, en République démo­cratique du Congo, à la faveur d’une épidémie.

Tant ces hantises que l’impuissance – la négligence, plus précisément, au regard des moyens techniques dont on dispose actuellement – à lutter contre la maladie, pour la guérir, la prévenir et l’éradiquer, sont symptomatiques des rapports ambigus et paradoxaux que l’humanité entretient avec la question de sa survie et de sa destinée. La fièvre Ebola est révélatrice d’un mal plus profond de l’espèce à la nature divine déchue, d’une intime fêlure fondatrice de l’humain, ainsi que l’écrivain tchèque Milan Kundera dé­voile « l’insoutenable légèreté de l’être ».

Les mesures sanitaires drastiques et la campagne mondiale de vaccination liées à la pandémie de Covid-19 ne sont que le reflet inversé de cette intolérable désinvolture de l’être humain. On a vendu un sale coronavirus probable­ment artificiel dans un emballage d’Ebola, muselé (au sens propre comme au figuré) et mis en danger la santé phy­sique, mentale et économique de la planète entière par des procédures préfabriquées aux USA, dont l’inutilité n’a ces­sé de le disputer à la dangerosité.

On a été jusqu’à interdire les soins qui auraient permis de maîtriser les conséquences de la maladie au profit de tech­niques géniques largement expérimentales à une telle échelle, à l’efficacité douteuse et aux effets secondaires plus de 100 fois supérieurs à ceux des vaccins classiques !

Ces effets secondaires catastrophiques niés de tous, mi­nistres et journalistes de toutes obédiences en tête, sont pourtant aisément consultables2 sur les sites officiels des agences de santé gouvernementales, telles l’ANSM en France et le VAERS aux USA...

À l’issue de cette guerre mondiale contre le virus de la Covid-19, les chiffres des morts et des pathologies graves dus à cette politique démentielle rivalisent hélas avec ceux de la maladie elle-même.

Note : Je l’ai vérifié personnellement et directement sur le site de l'ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) en juillet 2021 et mars 2022. Heureusement, car sinon j’aurais sans doute, comme tout le monde, fini par croire aux mensonges des autorités et des médias. Les décès semblent noyés dans les cas graves depuis… mais sachant qu’ils représentaient 8,76 % (761 décès/8689 cas graves) de ceux-ci (pour Pfizer) à l’époque, on peut les extrapoler à partir des données cu­mulées consultables au10 mars 2022 : 148877 effets indésirables rappor­tés (tous vaccins confondus) dont 25 % de cas graves, soit 37219 x 8,76 % = au moins ~ 3260 personnes probablement mortes des vaccins dans notre pays…

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